Bilan de 2 ans de mandats en tant que Rédacteur en chef du Taurillon

, par Fabien Cazenave

Bilan de 2 ans de mandats en tant que Rédacteur en chef du Taurillon

Le Taurillon a un nouveau rédacteur en chef à ses commandes depuis quelques jours : Laurent Nicolas. Il remplace Fabien Cazenave qui a dirigé la version française depuis novembre 2006. Voici son discours de fin de mandat devant l’assemblée générale des Jeunes Européens - France.

Le Taurillon a été lancé dans un contexte particulier : l’après-non français. Les Jeunes Européens – France pouvaient être fiers de voir que nous avions été très présents sur le terrain. Nous n’avions pas fui le débat, mais prouver notre engagement en faveur de la construction communautaire, dans le sens que nous voulions. A l’heure où les simples pro-européens laissaient la place au forces conservatrices du « ce n’est pas parfait donc on ne change rien et on vote non », nous avions été au combat.

Cependant, nous avions perdu la bataille du net. Les militants nationalistes de la gauche de la gauche et ceux du nationalisme de droite avaient réussi à toucher un plus grand public. Ils avaient été plus efficaces que nous et avaient su utiliser la force de démultiplication des blogs, forums et autres sites sur la toile.

Rattraper notre retard sur internet

Il a été décidé donc par plusieurs membres des Jeunes Européens – France de prendre place sur internet pour faire ce que sait faire notre association : être pédagogique et engagé pour emporter l’adhésion de nos concitoyens. C’est pour cela que nous avons décidé de ne pas faire simplement un site pédagogique, avec des fiches explicatives. Parce que nous n’étions pas des professionnels de l’Europe. Parce que ce qui avait marché durant la campagne, c’était notre capacité à proclamer notre envie de faire avancer l’Europe tout en ne nous satisfaisant pas de ce qu’elle avait réussi à devenir.

Le nom de « Taurillon » n’était pas le premier choix. Les hasards de la vie sur internet (et donc du fait de savoir si un nom était déjà pris ou pas) ont fait que nous avons opté de faire référence à ce symbole : Zeus déguisé en Taureau pour enlever la princesse Europe. Aussi parce que nous étions la jeunesse, et donc les enfants de nos prédécesseurs, taureaux qui avaient su emmener l’Europe jusque-là.

Le Taurillon en novembre 2006

C’est en novembre 2006 que j’ai pris les rênes du Taurillon. Je suis arrivé sur un magazine qui avait déjà fait ses premières armes. Bien sûr, j’avais déjà écrit pour le Taurillon. Mais le gros du travail avait été réalisé grâce au précédent rédacteur en chef, Ronan Blaise, et grâce aux plumes (ou claviers) des Valéry-Xavier, David, Jessica et autres. Il y avait déjà eu un gros développement puisque nous avions 3 versions linguistiques (francophone, anglophone et italianophone) et 30.000 visiteurs par mois.

Cependant, nous devions passer une nouvelle étape. Nous avions obtenu notre légitimité grâce à une ligne éditoriale précise et de nombreux articles de fond à partir de notre matrice, le fédéralisme. Il fallait donc passer de professionnels du fédéralisme à un site qui développe cette matrice pour être plus réactifs, plus efficaces vis-à-vis de nos lecteurs. Pour cela, j’ai fait des choix qui n’étaient pas évident : maintenir une cadence élevée d’articles en ligne pour mieux coller à l’actualité tout en gardant une ligne éditoriale directrice, ne pas brider nos auteurs pour des questions de style et ne jamais avoir plus d’un article par semaine par auteur.

Ces choix ont été lourds de conséquences : c’était la course permanente à l’article et le renouvellement constant des auteurs. Cela demandait d’être efficace dans les commandes d’articles et toujours susciter l’envie d’écrire aux membres de l’association alors que ceux-ci sont bénévoles et ont souvent avec des responsabilités par ailleurs.

Ce fut donc le jonglage permanent entre le besoin impératif de renouveler les articles, de donner envie d’écrire à des auteurs et de donner l’impression tant au lecteur qu’aux membres de l’association que ce processus était naturel.

Un OWNI dans le monde européen

Le Taurillon, et ce qu’il apporte au débat sur l’Europe, n’était pas, n’est pas et ne sera jamais naturel.

Notre milieu européen est fondé inconsciemment sur le consensus. Parce que la construction communautaire a du se fonder sur ce principe, il est de bon ton de ne pas faire de vagues. Or les ennemis de l’Europe (les conservateurs et les nationalistes entre autres) eux ne sont pas consensuels. Ils tranchent dans le vif. Avant, ils faisaient simplement peur. Ils ont changé et ils ont choisi de jouer sur les peurs désormais. Choix gagnant pour le moment car nous n’avons que peu de gens en face qui aient un discours engagé et combatif. Notre milieu européen se contente de penser par rapport à eux par syllogisme : avoir peur de l’autre, c’est être xénophobe, donc ceux qui ne sont pas les absolutistes de l’Europe sont des extrémistes à rejeter. On en voit le résultat avec les derniers référendums en France, aux Pays-Bas et en Irlande. Les nationalismes font de plus en plus de bons scores en Europe, que cela soit dans les premiers pays de la CEE ou dans ceux arrivés en 2004 ou 2007.

Le Taurillon, et ce qu’il apporte au débat sur l’Europe, n’était pas, n’est pas et ne sera jamais naturel

Or avec le Taurillon, nous avons choisi le combat. L’Union européenne est une formidable aventure et nous voulons qu’elle s’améliore, notamment dans le poids des citoyens européens dans ses choix. Le Taurillon est donc un OWNI dans un monde consensuel : un objet web non identifié sur l’actualité européenne. Nous détonnons mais nous en sommes que plus appréciés.

Nous sommes capables de faire face au débat. Chose rare malheureusement chez les pro-Européens. Nous ne partons pas du principe qu’il est évident d’aimer l’Europe. Cela nous a permis de nous engager.

Le Traité de Lisbonne en est un exemple marquant. Nous avons informé les lecteurs de l’évolution de ce qui allait remplacer le feu-TCE. Nous avons fortement tempêté sur le résultat, un traité intergouvernemental, négocié dans les couloirs en fonction des lignes rouges des intérêts nationaux, dont aucun citoyen n’entendait parler par ailleurs dans les médias. Nous avons pourtant défendu ce même traité au moment de sa ratification en France. Où étaient les autres pro-européens ? Fallait-il laisser encore une fois la place aux extrémistes face aux citoyens qui cherchaient un peu d’informations sur internet ? Comme nous avions mené une réflexion critique sur ce traité, nous étions d’autant plus prêts pour répondre aux attaques de ceux qui nous traitaient de non-démocrates, de sales capitalistes ou encore de suppôts du grand Bruxelles. Musique déjà entendues, 3 ans auparavant.

Le vote irlandais négatif de juin 2008 a aussi été un moment très fort. Ce vote a libéré la parole chez les Jeunes Européens – France. Nous sommes passés carrément de 1 à 4 articles par jour jusqu’en juillet. Plusieurs de nos adhérents ont abordé des points de vue contraires sur les raisons de ce vote « No ». Pourtant, la ligne directrice de notre magazine n’en transparaissait que plus : nous sommes comme les citoyens, nous ne voulons pas d’une Europe intergouvernementale qui justifie l’immobilisme en raison du besoin de consensus.

Donner un discours complexe tout en s’engageant pour faire avancer la construction européenne, voilà notre marque de fabrique. Et notre force. Notre caractéristique dans la blogosphère européenne.

Un outil utile pour l’association

Le Taurillon remplit donc parfaitement notre objectif de lobbying au service des revendications des Jeunes Européens – France. Lobbying vis-à-vis des citoyens, notre objectif premier. Avec aujourd’hui 75.000 visiteurs en moyenne par mois, le Taurillon a touché 1,5 million de lecteurs depuis sa création. Honnêtement qui l’aurait imaginé au début ?

Lobbying aussi vis-à-vis des institutionnels de l’Europe. Nous avons eu de nombreuses interviews de ministres, de députés (européens ou non) ou de membres importants de la société civile. Le Taurillon est ainsi une vitrine pour les Jeunes Européens. La manifestation de soutien au traité de Lisbonne au moment de la ratification du 4 février a ainsi eu plus de publicités que si nous avions voulu passer par les canaux des médias traditionnels.

Pareillement, dans le milieu européen, est-ce que d’autres associations pro-européennes qui savent pourtant si bien tirer leur épingle du jeu dans les salons et les lambris des ministère pourraient dire la même chose ? Ils sont pourtant loin d’avoir les résultats des JE – France sur le terrain, ils sont loin d’avoir les résultats des JE – France sur internet. Nous avons donc une longueur d’avance...

Le Taurillon est avant tout un lieu d’épanouissement pour nos adhérents. Il n’est pas anodin pour personne d’écrire. Nous sommes ainsi le trépied à la formation de la réflexion de nos membres. Nos colonnes constituent le lieu parfait pour s’essayer à s’exprimer sur un sujet européen. Avec la reconnaissance du Taurillon dans les milieux européens, il y a également un autre aspect qu’il faut mentionner : il est valorisant de pouvoir inscrire sur son CV qu’on a écrit dans le Taurillon, surtout quand on cherche à faire carrière dans ce milieu ou qu’on désire obtenir un stage dans une institution ou une entreprise en lien avec l’Europe. De la même manière, on prouve ses compétences de traduction quand on indique qu’on a réalisé des traductions pour le Taurillon. C’est un gage de sérieux et de qualité.

Enfin, c’est aussi un outil de lobbying pour les JE – France dans nos relations avec les autres sections de la JEF – Europe. Au travers de nos semaines spéciales sur un pays européen où nous proposons une interview à une autre section pour les mettre en avant ou lorsque nous permettons à d’autres sections comme la GEF – Italie de prendre en charge une des versions linguistiques.

Encore des défauts de jeunesse

Bien sûr, tout n’est pas parfait. Nous avons encore des défauts de jeunesse.

Tout d’abord, il y a un risque de la personnification du Taurillon à son rédacteur en chef. Le doux surnom de « Totaurillon » dont m’ont affublé plusieurs de mes camarades est certes très plaisant (et j’espère bien le rester auprès d’eux), mais il représente aussi plusieurs risques. Risque qu’on pense qu’il s’agit du webzine de Fabien Cazenave, risque que cela brise l’envie d’autres membres de l’association de s’engager ou risque qu’on perde de vue le point de vue de l’Association.

J’ai tenté d’éviter ces risques en écrivant peu et en faisant écrire les autres, notamment. J’ai toujours tenu informer mon président (Nicolas aujourd’hui, Pauline hier) des grandes polémiques que nous allions entamer ou des évolutions des échanges et des réflexions. Le Bureau National était toujours sollicité pour me donner son avis sur les grandes options que prenaient le webzine. C’est en partie aussi pour éviter cette personnification que je ne vous propose pas de renouveler mon mandat. Je vais continuer d’écrire mais je désire laisser la place à quelqu’un d’autre. A lui d’apporter sa vision des choses, sa manière de procéder et son savoir-être. Mais qu’il n’oublie jamais que le Taurillon est l’outil de l’association.

Il procédera différemment. Nous avons trop peu de rédacteurs réellement réguliers, même si la volatilité de l’engagement associatif peut expliquer en partie cela. De plus, le Taurillon est tributaire des Jeunes Européens – France : au contraire par exemple des Euros du Village, de Nouvelle-Europe.eu ou de professionnels du type Touteleurope ou Euractiv, le développement de notre webzine n’est pas l’unique objectif des Jeunes Européens. Le rédacteur en chef n’est donc pas « seul » à décider et cela peut être plus embêtant et plus sources de lenteurs que lorsque nous mettons plusieurs mois à nous mettre d’accord sur la conception d’un tee-shirt...

Comme nous sommes bénévoles, nous avons des fois du mal à coller à l’actualité. Même si notre base d’articles est très conséquente (presque 1900 articles publiés), Internet est un milieu (permettez le néologisme) « nouveautétophage » dans le sens où nous devons toujours faire plus, faire mieux, faire plus fort. Des Jeux Olympiques se déroulant de manière permanente et où la réputation acquise si durement peu s’évaporer avec une mauvaise polémique.

Par exemple, le Taurin-Magazin. Emmanuel Vallens était le premier rédacteur en chef. Il a accompli un travail absolument remarquable pour lancer le Taurin, en traduisant par exemple notamment plusieurs centaines de mots qui sont présents dans la structure du site. Cependant, comme il est brillant, il travaille désormais à un poste qui ne lui laisse que trop peu de temps... On lui en demande tant qu’il a fini par devoir mettre de côté le Taurin et nous avons presque eu 1 an sans nouvelle publication. Autant le dire, cela faisait tâche. Heureusement, grâce à plusieurs adhérents des JE – France (Hanna, Émilie, Léa...), j’ai pu relancer la version germanophone. Modestement, puisque nous en sommes depuis le mois de juin à 1 articles tous les 10 jours. Bel exploit, mais qui empêche le développement exponentiel du Taurillon. Si nous avions 4 versions linguistiques au même niveau en terme de production d’articles, nous aurions un référencement largement supérieur.

C’est un travail de fourmi permanent et donc difficile. Heureusement, la version anglophone et la version italianophone progressent continuellement et nous apportent leur vision de l’actualité européenne. Nous devrons améliorer notre taux de traduction pour continuer d’offrir au lecteur plus qu’une version nationale de l’Europe, risque récurrent pour chaque version linguistique et chaque webzine ayant une base nationale.

Enfin, défaut intrinsèque à notre association , nos adhérents font généralement de belles études et sont souvent dans des filières où la réflexion est de mise. Ce qui est un avantage lorsque nous cherchons de nouveaux rédacteurs, cela peut être un défaut quand en tant que rédacteur en chef, nous devons apprécier si un article soumis est publiable en l’état ou s’il doit être changer. S’il s’agit d’améliorer le texte, cela se passe souvent bien. Mais si au-delà du débat d’idées, l’auteur se plante dans son analyse ? J’ai eu le défaut de me mettre souvent sur un rapport d’égalité avec le rédacteur, pour lui donner envie d’écrire, qu’il n’ait pas peur de me proposer un article. Or on m’a fait le reproche, dans mon dos le plus souvent, de vouloir faire écrire ce que Fabien Cazenave pensait. Or, quand un rédacteur en chef doit trancher sur un article, il ne le fait pas parce qu’il pense avoir raison contre tout le monde, il le fait en essayant d’être objectif par rapport à l’ensemble des publications. Comme je personnifiais le Taurillon, ces quelques auteurs (ils sont rares heureusement) n’ont pas vu les heures passées à demander l’avis à d’autres personnes ou à trouver quelque chose à leur proposer qui permette de sortir par le haut d’un désaccord et de publier in fine leur article.

Travail ingrat, mais qui n’est pas le plus important. Mon but a toujours été de faire progresser le webzine au-delà de ma personne car le Taurillon me dépasse. Il dépasse même l’article du jour en lui-même et donc les auteurs pris séparément. Il s’agit d’une grande aventure.

Une grande aventure pleine d’anecdotes

Car comme toute grande aventure, il y a des centaines de petits évènements et de petits exploits qui les font. En voici quelques-uns : aujourd’hui, il y a 1900 articles en ligne, 1000 brèves, 5000 commentaires, + de 500 auteurs différents de toutes les nationalités, un nouveau rédacteur en chef qui peut commencer son mandat avec des articles d’avance (et au moins pour une quinzaine de jours, ah si j’avais eu ça pour commencer...), + de 80 vidéos réalisées et mises sur Dailymotion, le statut d’Official User sur ce site de partage en ligne à l’instar des Rue89, France-Info ou Public-Sénat (qui sont d’ailleurs nos « friends » sur Dailymotion), 1 page dédiée sur Facebook avec presque 300 membres, 1,5 millions de visiteurs depuis la création du site (dont + d’un tiers ma première année de mandat – soit + de 500.000 – et + de la moitié sur ce dernier mandat – soit 850.000), 75% de ces visites pour la version française, 4 versions linguistiques, une version dédiée au mobile (et nous sommes le seul à le faire dans les magazines sur l’Europe avec Euractiv.com), des interviews de ministres, de secrétaires d’Etat, d’eurodéputés, de président de Think-Tank ou d’associations, de simples citoyens aussi (ils doivent être au coeur de notre vision des choses, comme avec l’Europe), des interviews données à des médias au nom du Taurillon, des conférences où je devais parler du Taurillon (trop dur), la renaissance du Taurin-Magazin après 1 an d’errance, 3 candidats de qualité au poste de rédac’-chef alors que j’avais peur qu’il n’y ait aucun candidat avant l’été, la présence du Taurillon dans tous les grands évènements de la présidence française, une nouvelle version du site qui fait que le Taurillon est le seul magazine a présenté des articles dans plusieurs langues sur sa home page.

Il y eu des moments forts :
 comme pour le suivi de la campagne présidentielle ou la ratification du traité de Lisbonne ou le suivi de la PFUE,
 quand on a eu + de 100 commentaires de soutien sur un carton rouge au Figaro qui venait de supprimer sa rubrique Europe sur son site internet,
 qu’un article écrit sur Sarkozy durant les présidentielles de 2007 a buzzé en Allemagne avant d’être repris sur les sites de Ségolène Royal,
 quand une question posée au Secrétaire d’Etat Jean-Pierre Jouyet aurait pu nous sucrer la subvention annuelle mais qui est finalement (et surtout) passée dans l’émission Dimanche + en lancement d’un sujet consacré à lui,
 que ce même Jouyet a eu mon téléphone entre ses mains pour découvrir en avant-première le Taurillon Mobile,
 que j’ai pu donner une poignée de main à Geremek quelques mois avant sa mort,
 que j’ai pu donner une poignée de main avec Bernard Lama ancien gardien du PSG (un rêve de gosse),
 qu’une connaissance glisse au cabinet de Sarkozy que le Taurillon venait d’atteindre le million de visiteurs et on lui répond qu’un Ministre s’en est déjà « vanté » le matin-même,
 qu’un poisson d’avril dédié à une démission imaginaire d’un Barroso faisant preuve de panache a fait le tour des services de la Commission et du Parlement européen,
 que des profs à Lille-Lyon-Paris-Tours-Rouen-Metz-La Rochelle citent le Taurillon à leurs élèves comme une référence,
 quand on reçoit des messages de compliments de lecteurs heureux qu’existe un tel magazine,
 quand des auteurs sont heureux de la présentation de leur article et qu’il le trouve mis en valeur,
 quand des auteurs me disent qu’ils sont fiers d’avoir pu écrire dans le Taurillon,
 quand un auteur passant un entretien pour un Master en vient à parler de son article avec un prof de son jury qui n’était pas d’accord avec son interprétation,
 quand j’ai dû rédiger une lettre de recommandation pour compléter le dossier pour le Conseil de l’Europe d’une de nos auteurs polonaises et qui pensaient que c’était valorisant pour elle (et cela l’était au final),
 quand j’ai reçu des articles à minuit alors que je ne savais pas quoi publier le lendemain,
 quand on reçoit + d’une dizaine de livres qui nous sont envoyés par les éditeurs pour qu’on les commente à l’instar de Non-Fiction.fr ou de Télérama,
 quand un ministre me dédicace son livre pour qu’il soit commenté dans le Taurillon,
 quand pour un reportage sur Arte, on me voit entrain de réfléchir au titre d’un article,
 quand on imagine qu’un article qui a failli être cité dans un encadré d’un livre d’Histoire pour lycéen...

J’en passe et des meilleurs.

Le Taurillon est donc notre outil, le fruit d’une histoire de 3 ans qui continue. Soyons fiers du chemin parcouru, que celui-ci soit source d’inspiration pour le futur mais qu’il n’en soit qu’une étape. Rêvons que le futur concrétise nos efforts. Pour cela, soyons acteur du futur, par notre engagement au sein des Jeunes Européens.

Utilisons tous les outils à notre disposition car les citoyens européens sont en manque d’une vision d’Europe. Montrons leur avec le Taurillon que nous sommes de leur côté.

Illustration : logo du Taurillon.

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Vos commentaires
  • Le 10 décembre 2008 à 08:14, par Valéry En réponse à : Bilan de 2 ans de mandats en tant que Rédacteur en chef du Taurillon

    Merci Fabien pour ce bilan et pour ton action à la tête de ce webzine !

    Tu ne cites cependant pas le Mouvement Européen : je sais que de nombreux adhérents, au delà des JE, le lisent régulièrement, souvent à travers à la version diffusée par email. Toutefois je suis convaincu que le MEF est un réseau de rédacteurs potentiels et de notoriété qui n’est pas encore exploité à sa juste mesure. Combien de membres du bureau national s’y sont par exemple exprimés ? Nous ne sommes que deux ou trois me semble-t-il, parmi les rédacteurs réguliers, à en être issus. Peut-être faut-il solliciter un temps d’intervention ou une table au tout prochain Conseil national pour en parler ?

  • Le 10 décembre 2008 à 08:54, par Julien En réponse à : Bilan de 2 ans de mandats en tant que Rédacteur en chef du Taurillon

    Salut totorillon, Que de souvenirs émouvants en relisant ta prose... Merci pour ce que tu as fait du Taurillon et des heures passées derrière ton clavier.

    Souhaitons bonne chance à Laurent Nicolas, nouveau rédacteur en chef, pour la relève de cette dure tâche consistant à faire vivre le jeune taureau...

    Julien des Jeunes Européens-Lorraine

  • Le 10 décembre 2008 à 08:57, par Laurent Nicolas En réponse à : Bilan de 2 ans de mandats en tant que Rédacteur en chef du Taurillon

    Merci pour ce que tu as fait du Taurillon, pour ton engagement entier et sincère. J’espère être à la hauteur de ta succession.

  • Le 10 décembre 2008 à 09:23, par Agnès En réponse à : Bilan de 2 ans de mandats en tant que Rédacteur en chef du Taurillon

    Merci d’avoir publié ce discours que je n’avais pas eu la chance d’écouter. Merci Totorillon pour ces deux années passées à travailler ensemble. Bonne chance Laurent et belle vie au Taurillon !

  • Le 10 décembre 2008 à 10:07, par Eric En réponse à : Bilan de 2 ans de mandats en tant que Rédacteur en chef du Taurillon

    Bravo Fabien pour ce mandat bien rempli. Ton successeur a la pression...

  • Le 10 décembre 2008 à 10:53, par jmfayard En réponse à : Bilan de 2 ans de mandats en tant que Rédacteur en chef du Taurillon

    Bravo Fabien, une retraite rédactionnelle bien méritée !

  • Le 10 décembre 2008 à 10:54, par Vincent Guerre En réponse à : Bilan de 2 ans de mandats en tant que Rédacteur en chef du Taurillon

    Bravo Fabien pour le travail exceptionnel que tu as accompli pour le Taurillon. J’espère que tu resteras dans les parages et que tu nous feras encore profiter de tes articles... Bon vent à toi !

  • Le 10 décembre 2008 à 10:59, par Cédric En réponse à : Bilan de 2 ans de mandats en tant que Rédacteur en chef du Taurillon

    Merci à toi Fabien pour cet énorme boulot. On peut vraiment être fier du Taurillon. ;-)

  • Le 10 décembre 2008 à 11:01, par Lionel Luttenbacher En réponse à : Bilan de 2 ans de mandats en tant que Rédacteur en chef du Taurillon

    Merci Fabien pour ton travailet ton engouement à faire partager ta passion de l’Europe !

  • Le 10 décembre 2008 à 11:17, par Montasser Charni En réponse à : Bilan de 2 ans de mandats en tant que Rédacteur en chef du Taurillon

    Bravo Fabien pour l’expertise que tu as su développer pendant ces deux années.

    Bonne chance au successeur.

  • Le 10 décembre 2008 à 11:38, par Alexandre En réponse à : Bilan de 2 ans de mandats

    Cher Fabien ! En tant que responsable de cafebabel.com et de notre tout nouveau site Eudebate2009.eu (entièrement dédié aux élections européennes) je dois dire que tu as fait un bon boulot ! Le Taurillon s’est hissé au rang des sites internet qui comptent sur les questions européennes en France ! Bravo à toi et à toute l’équipe du Taurillon !

  • Le 10 décembre 2008 à 11:54, par édith de Cornulier Lucinière En réponse à : Bilan de 2 ans de mandats en tant que Rédacteur en chef du Taurillon

    Cher Taurillon,

    Je te lis beaucoup ; j’admire ton (ex) rédacteur en chef Fabien Cazenave, qui t’a porté et qui a fait de toi une plateforme incontournable pour les passionnés de l’Europe, de la politique, de la pensée tout simplement.

    De plus, les articles de Fabien sont très intéressants. Et sa présence dans les débats, a toujours aidé à vivifier les échanges. D’ailleurs il continuera peut-être à poster des articles et des commentaires en ton sein !

    Bravo à Fabien d’avoir fait de toi le journal que tu es devenu ; et merci à Laurent Nicolas de reprendre tes rênes.

  • Le 10 décembre 2008 à 12:01, par Jean-Luc Prevel Presse fédéraliste En réponse à : Bilan de 2 ans de mandats en tant que Rédacteur en chef du Taurillon

    Merci Fabien pour ce bel outil que tu as construit, peaufiné. Il est aujourd’hui devenu indispensable à notre travail quotidien de militant. Ta présence à nos côtés reste tout aussi indispensable. Amitiés.

  • Le 10 décembre 2008 à 12:20, par Maël Donoso En réponse à : Bilan de 2 ans de mandats en tant que Rédacteur en chef du Taurillon

    Félicitations pour ce beau bilan, qu’il s’agira de prolonger et de consolider dans les années à venir !

  • Le 10 décembre 2008 à 12:37, par Pierre-Jean VERRANDO En réponse à : Bilan de 2 ans de mandats en tant que Rédacteur en chef du Taurillon

    Bravo Fabien, Les Jeunes européens et le taurillon te doivent beaucoup. J’ai pu me rendre compte à quel point ton engagement et ta détermination pour ce projet étaient complets ! Beaucoup de temps de travail et toujours une passion contagieuse pour ceux qui ont eu la chance de travailler de près ou de loin avec toi. Je sais que Laurent est de cette trempe, qu’il se surpassera lui aussi dans cette magnifique tâche qui est d’animer le taurillon.

    Bonne continuation dans tes nouveaux projets ! Amitiés, PJ

  • Le 10 décembre 2008 à 12:41, par Elise Renaudin En réponse à : Bilan de 2 ans de mandats en tant que Rédacteur en chef du Taurillon

    Bravo à toi et bon courage pour la suite !

  • Le 10 décembre 2008 à 14:50, par Sylvie Goulard En réponse à : Bilan de 2 ans de mandats en tant que Rédacteur en chef du Taurillon

    Chapeau bas pour la qualité du Taurillon !

    Fabien, un grand bravo et un immense merci à toute l’équipe de ces deux dernières années.

    Ce qui m’a le plus frappée même dans votre article bilan, c’est la récurrence du mot « heureux ». L’Europe n’est pas parfaite mais si nous parvenons à y mettre de la vie, du bonheur, de l’émotion, nous aurons déjà gagné notre pari.

    Bon vent, cher Fabien ! Partez vers d’autres aventures mais restez comme vous êtes, un peu taurillon pour foncer tête baissée dans les préjugés nationaux et les fausses certitudes souverainistes.

    Avec en prime une bise de la Présidente du Mouvement Européen France !

  • Le 10 décembre 2008 à 14:51, par Jacques Chauvin, Pdt, UEF-France. En réponse à : Bilan de 2 ans de mandats en tant que Rédacteur en chef du Taurillon

    Puisses-tu, sur la nouvelle voie que tu empruntes, rencontrer autant de succès et trouver l’ occasion de rendre autant de services à notre cause fédéraliste.

    Merci pour la tâche accomplie.

  • Le 10 décembre 2008 à 15:15, par Diego En réponse à : Bilan de 2 ans de mandats en tant que Rédacteur en chef du Taurillon

    Bravo Fabien pour avoir su faire vivre un site Internet unique en son genre ! Le Taurillon a incarné, et j’espère incarnera encore, une formidable manière de mettre l’Europe au contact des citoyens.

    L’Europe a besoin de tels outils et surtout d’acteurs qui s’investissent pour elle. Le combat pour l’Europe continue, j’espère te voir poursuivre, d’une façon ou d’une autre, ton action et ton travail en faveur d’une Europe des citoyens.

    Amitiés, Diego Sauvons l’Europe

  • Le 10 décembre 2008 à 15:33, par Nicolas Leron En réponse à : Bilan de 2 ans de mandats en tant que Rédacteur en chef du Taurillon

    Bravo Fabien pour ton action, ton investissement et ton engagement ! Le Taurillon est l’un des plus beaux succès des JE, succès qui te reviens pour une bonne part. Bref, tu as bien mérité de l’Europe :) Bonne continuation, Nicolas

  • Le 10 décembre 2008 à 17:52, par Sylvain BOYER En réponse à : Bilan de 2 ans de mandats en tant que Rédacteur en chef du Taurillon

    Je ne vais peut-être pas être original mais je tenais moi aussi à te remercier pour tout ce que tu as fait. Je n’aurais très certainement pas eu le courage d’écrire pour le TAURILLON si le rédac’ chef Totorillon n’avais pas été là.

    Bon courage pour ton successeur !

  • Le 10 décembre 2008 à 18:07, par Emmanuel En réponse à : Danke, Tschüss und Viel Glück !

    Cher Fabien,

    merci infiniment pour ton abnégation et pour l’excellent travail que tu as fourni !

    Merci également pour les compliments, et pour ta capacité à relancer Taurin-Magazin en dépit de ma défection !

    Viele Grüsse aus Strasbourg ! EV

  • Le 10 décembre 2008 à 18:26, par Martial Pradaud En réponse à : Bilan de 2 ans de mandats en tant que Rédacteur en chef du Taurillon

    Bravo à toi Fabien pour ces deux années ! tu as fait un travail titanesque pour que le taurillon devienne une référence en la matière. Les élections européennes sont une formidable opportunité pour faire passer notre message fédéraliste après tout ce qui a été fait lors du TCE, du non irlandais ; etc. J’ai trouvé que ton intervention lors de l’AG des JE à Lyon sur ton expérience était vraiment très émouvante. Personnellement, je ne connaissais pas ce site avant que tu en sois le rédac chef. J’espère que tu trouveras rapidement un emploi !

    A bientôt

    Martial

  • Le 10 décembre 2008 à 18:46, par Krokodilo En réponse à : Bilan de 2 ans de mandats en tant que Rédacteur en chef du Taurillon

    Bravo, et bonne continuation ici ou ailleurs. Je confirme qu’au Taurillon, vous n’avez pas fui le débat, surtout sur le thème qui m’intéresse le plus... à l’inverse de la plupart des médias traditionnels.

    PS : Je préfère toujours le char Leclerc au tank Think, et la page d’accueil à la home page. Sans rancune.

  • Le 10 décembre 2008 à 22:14, par Pauline En réponse à : Bilan de 2 ans de mandats en tant que Rédacteur en chef du Taurillon

    Que rajouter de plus, sinon un ENORME MERCI pour tout ce que tu as fait, non seulement pour le Taurillon, mais aussi pour les Jeunes Européens dans leur ensemble.

    Pour avoir travaillé directement avec toi pendant 3 ans, je mesure tout le travail réalisé et je peux vous dire que l’engagement de Fabien dépassait largement les colonnes du Taurillon ! Tous ceux qui ont eu la chance de faire une action de rue avec Fabien peuvent en témoigner ... « Nous sommes les Jeunes... Européens... Nous sommes les Jeunes Européens... » Quel chauffeur de salle ou de bus, ce Fabien :-)

    Bon vent Fabien et ne part pas trop loin, l’Europe a toujours besoin de ton dynamisme !

    Pauline

  • Le 10 décembre 2008 à 22:16, par Camille En réponse à : Bilan de 2 ans de mandats en tant que Rédacteur en chef du Taurillon

    Bravo Fabien pour tout ce que tu as fait pour le Taurillon, les JE et pour cette belle sortie. Et merci pour tes encouragements/gentilles invitations à écrire un article qui m’ont poussé à sauter le pas, je retiens la leçon qu’il va maintenant falloir que je devienne plus régulière. Bonne continuation « Federalist regards » comme signe les JEF ici à Bruxelles Camille, JE Sciences Po, et récente auteur

    NB : je suis déjà en contact avec ton successeur

  • Le 11 décembre 2008 à 01:09, par nycrees En réponse à : Bilan de 2 ans de mandats en tant que Rédacteur en chef du Taurillon

    (onomatopée de profonde tristesse et de désarroi sans précédent) loin de moi l’intention de mettre la pression à Laurent Nicolas ton successeur, mais ton enthousiasme, ton dynamisme, ton engouement et ton engagement nous manquerons tau-taurillon..

    il faut que tu partes pour qu’on puisse te remercier, et te féliciter du travail que tu as mené auprès des JE, ainsi qu’avec ce webzine, et ça je peux en temoigner..

    bonne continuation dans tout ce que tu entreprendras

  • Le 11 décembre 2008 à 15:36, par Jacques En réponse à : Bilan de 2 ans de mandats en tant que Rédacteur en chef du Taurillon

    J’ai découvert le Taurillon voilà quelques temps. Ni adhérent de votre association ni engagé dans quelque action militante, je me définirai simplement comme citoyen français et européen convaincu que l’Europe est notre avenir, que cet avenir « urge » car le monde ne nous attendra pas, et que, face à cet enjeu, sont désespérantes les petites et grandes combines politiciennes de ceux qui ont reçu mission de nous « éclairer » et de nous « guider », nous les peuples d’Europe.

    Soyons acteur du futur... Utilisons tous les outils à notre disposition car les citoyens européens sont en manque d’une vision d’Europe..., écrivez-vous. L’objectif est ambitieux mais vital. Continuez à nous « faire voir », et à demeurer exigeant dans la qualité et la diversité de la réflexion.

    Un jeune européen de 65 ans.

  • Le 12 décembre 2008 à 07:53, par Martina Latina En réponse à : Bilan de 2 ans de mandats en tant que Rédacteur en chef du Taurillon

    Bravo pour votre engagement, et bienvenue à la tête de la bête passionnante qu’est le TAURILLON ! Je viens de faire sa connaissance très heureusement, grâce à la presse nationale française ; mes quelque vingt ans de modestes réflexions que je qualifierais d’eurocitoyennes avant la lettre m’ont amenée à côtoyer et à mieux comprendre l’animal qui sert à ce magazine de symbole bouillonnant et qui de ce fait semble particulièrement approprié : non seulement pour la vigueur et l’action que méritent nos convictions, mais surtout pour l’ancrage de notre continent et de sa construction communautaire dans la culture immémoriale du Proche-Orient, puis de la Crète et ensuite de la Grèce. Car, pour aller de l’avant, le TAURILLON doit savoir d’où il vient : or il tire en réalité sa force, comme vous le savez, de l’antique Phénicie qui laissa la place à l’actuel Liban, dont la religion sut dignement l’honorer et dont un joyau l’attira d’une manière irrésistible autant qu’irréversible. A vrai dire, ce TAURILLON ne servit alors de masque et de déguisement à rien de moins que la suprême divinité grecque. Ainsi, pour le grand Zeus-Jupiter, ce fut un jeu d’enfant et un plaisir de roi d’enlever celle qu’il avait choisie sur le rivage méditerranéen et qu’il déposa en Crète pour faire d’elle la mère de la première civilisation qualifiée à juste titre d’européenne, puisque la jeune beauté s’appelait... EUROPE ! Comment un mythe peut-il signer le premier acte de naissance d’un continent ? Celui-ci permet de donner corps à l’histoire en cours, car il figure le double apport incontournable de la Phénicie, constitué par des techniques fondatrices de communications aussi nouvelles qu’évolutives : sur mer par des bateaux enfin hydrodynamiques et sur... papier par l’alphabet. Foin cependant de tout « eurocentrisme » qui limiterait l’audace de notre TAURILLON : puisque l’énergie robuste de ses ancêtres au sens propre inspira sans doute la meilleure manière de se jeter à l’eau et en tout cas la première lettre du premier alphabet, puisque son truchement permit au grand dieu grec d’importer les outils de la culture la plus humaine, puisse le TAURILLON suivre son exemple en aidant L’EUROPE à sa création commune ! Car la jeune Levantine et le continent portent la même dynamique dans leur nom et passent donc toujours du SILLAGE-SOLAIRE lancé vers l’avant auquel il correspondait en langue sémitique à la VUE-LARGE qu’il signifie en langue grecque. A l’approche des élections européennes, face aux questions que posent à notre continent son économie et son intégrité ainsi que sa sécurité, nous EUROCITOYENS avons l’urgent besoin que notre TAURILLON voie loin et pense juste pour agir bien, n’est-ce pas ?

  • Le 16 décembre 2008 à 11:49, par Nicolas En réponse à : Bilan de 2 ans de mandats en tant que Rédacteur en chef du Taurillon

    Cher Fabien,

    C’est avec un peu de retard que je poste à mon tour ce commentaire, tu ne m’en tiendras pas rigueur j’espère.

    Le nombre mais aussi la diversité des commentaires et félicitations montrent la qualité du travail que tu as accompli durant ces deux années, mais aussi la passion avec laquelle tu as animé ce qui restera l’une des plus belles créations des JE France.

    Le Taurillon et les JE France te doivent beaucoup ; la pression pour faire aussi bien est là et nous tacherons avec Laurent de nous en montrer digne.

    Notre webzine est devenu une référence dans la sphère des sites européens. Alimenté uniquement par des bénévoles, c’est ce qui en fait son originalité, mais aussi sa force et parfois sa faiblesse quand il faut courir derrières les auteurs pour avoir un article (et parfois moi le premier, en témoigne le retard avec lequel arrive ce commentaire), mais c’est là tout ton art : faire de notre faiblesse une force, en témoigne la qualités des très nombreux auteurs d’horizons très différents.

    Tu aimes le rappeler, le Taurillon est une aventure collective et tu n’es pas seul, tous les auteurs participent en effet à cette belle aventure, mais comme pour toute chose, il faut un chef, et tu as été un grand chef !

    Très bonne continuation dans ta vie privée et professionnelle, je ne doute pas que je continuerai à lire tes articles dans nos colonnes,

    Sincères amitiés,

    Nicolas, Président des JE France

  • Le 17 décembre 2008 à 09:51, par Anne En réponse à : Bilan de 2 ans de mandats en tant que Rédacteur en chef du Taurillon

    Bravo ! Voilà la fin d’une belle corrida journalistique et - nous en sommes tous sûrs – le début d’une autre grande aventure à horizon européen… De la part de toute l’équipe de www.lingoo.eu je te souhaite plein de très bonnes choses … Anne

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