Pegasus, la face sombre de l’innovation technologique
Mexique, Inde, Maroc, Arabie saoudite, Émirats, Kazakhstan, Azerbaïdjan, Togo, Rwanda et même la Hongrie, membre de l’Union européenne : les ministères des armées, agences gouvernementales ou agences de renseignement ont usé du logiciel Pégasus contre des concitoyens parce que ces derniers sont avocats, journalistes, diplomates, militants ou politiques, exerçant une liberté d’expression contre le gouvernement en place, souvent depuis l’étranger.