La légende d'Europe - commentaires La légende d'Europe 2012-08-14T15:50:59Z https://www.eurobull.it/La-legende-d-Europe#comment14493 2012-08-14T15:50:59Z <p>@IG Les points de vue et analyses publiées sur le Taurillon sont trop vastes pour pouvoir qualifier ce webzine de propagande ou encore y déplorer un quelconque manque de tolérance.</p> <p>Au contraire, le Taurillon publie des certes pro-européens, fédéralistes, mais qui restent d'une grande diversité.</p> La légende d'Europe 2012-02-08T14:03:46Z https://www.eurobull.it/La-legende-d-Europe#comment12435 2012-02-08T14:03:46Z <p>vous avait du prendre longtemps a écrire l'histoire et le long commentaire !!!!</p> La légende d'Europe 2012-01-28T10:48:56Z https://www.eurobull.it/La-legende-d-Europe#comment12379 2012-01-28T10:48:56Z <p>Heureusement que les Grecs ont fait mieux que leur mythologie qui a engendré le paganisme. Leur célèbre « Démocratie » est une bien meilleure école, ainsi que leur flamme olympique pour l'esprit du sport. Ne vendons pas du rêve avec ce journal 'Taurillon' bien trop partisan, et de prétendus cartons rouges qui brisent bien des élans. On n'y retrouve guère l'esprit de tolérance grec.</p> <p>On voit bien que la sortie de crise ne passe pas par la propagande fédéraliste qui ne marche pas, mais par un pragmatisme économique et un véritable échange de savoirs comme enfin le CVCE le met en place.</p> La légende d'Europe 2008-12-16T06:04:31Z https://www.eurobull.it/La-legende-d-Europe#comment5971 2008-12-16T06:04:31Z <p>Comme je l'ai déjà souvent fait dans vos colonnes aussi diverses qu'intéressantes, découvertes avec plaisir il y a quelques semaines à peine, je reviendrais volontiers sur cette légende, assez consistante pour à la fois résumer le passé de l'Europe et dessiner son avenir. Bravo d'abord pour la version, certes simplifiée, mais rajeunissante, ainsi offerte à la poésie d'Ovide : est-ce vous qui signez cette adaptation que je ne connaissais pas ? Oui, c'est bien là « une métaphore poétique de la diffusion civilisationnelle... » comme vous l'écrivez. Mais les derniers travaux des archéologues et des linguistes sont formels : aux Phéniciens, donc au peuple dont sort EUROPE, sont rattachées l'invention et la diffusion non seulement des techniques permettant de « naviguer dans les deux bassins de la Méditerranée » - d'après les termes de votre dernière note, mais aussi et en même temps l'écriture alphabétique ; car, apparu d'abord maladroitement, au milieu du deuxième millénaire avant notre ère, sur les roches du Sinaï dont les Phéniciens exploitaient les mines sous contrôle égyptien, l'alphabet allie empiriquement, pour transcrire leur langue sémitique comme l'égyptien, à quelques hiéroglyphes reçus de l'ouest un système pratiqué à l'est de la zone où ils vivent : le cunéiforme babylonien. Des deux mondes où l'écriture par sa complexité resta l'apanage et le privilège d'une caste sacrée, les Phéniciens tirèrent avec un génial esprit pratique un petit nombre de lettres aussi faciles à tracer qu'à lire, affectées chacune à un son : dans ce désert méridional, ces caractères servirent en premier au culte de la déesse de Byblos (sans doute Ishtar-Astarté, déesse de la beauté comme de la fécondité, à mi-chemin entre l'Hathor égyptienne et Aphrodite ou Vénus), à commencer par ALEPH dont le nom désigne le bovin indispensble à la vie comme à la religion de ce temps-là, et dont le premier son serait désormais rendu par ce signe, adopté au début du premier millénaire comme les vingt et un autres par les Hébreux, puis par les Grecs qui avaient mystérieusement perdu leur écriture et qui les transmirent aux Etrusques et ainsi au peuple romain... Si la silhouette bovine résume l'apport phénicien en savoir-faire nautique et en notation commode, on comprend que, dans le mythe grec d'EUROPE, le dieu suprême ait voulu prendre son apparence pour implanter en Crète, puis dans toute la Grèce, les arts qu'il symbolise, tout en séduisant et amenant avec lui la princesse phénicienne qui, par son appartenance, en connaissait le mode d'emploi : EUROPE ! Il fallait donc que la fille dont le nom signifie en phénicien SILLAGE-SOLAIRE disparaisse du rivage oriental pour devenir LARGE-VUE en grec, et que le taureau laisse toute sa place au grand Zeus, mais aussi à des perfectionnements notables de la navigation crétoise, et surtout à la rédaction de la première constitution occidentale qui ait été écrite, celle de Minos, pour que naissent le nom et l'unité potentielle de l'EUROPE. Voilà une longue trajectoire EUROPEENNE avant la lettre qui augure bien de l'avenir d'un continent conscient de l'unité EUROPEENNE à construire : car il dispose d'excellentes sources multiculturelles pour répondre à sa vocation de dialogue fraternel, à commencer par l'organisme bouillonnant du TAURILLON, n'est-ce pas ?</p>