Le mur grec et l’Europe forteresse : dérive sécuritaire de l’espace de liberté, sécurité et justice - commentaires Le mur grec et l'Europe forteresse : dérive sécuritaire de l'espace de liberté, sécurité et justice 2013-09-30T10:11:34Z https://www.eurobull.it/Le-mur-grec-et-l-Europe-forteresse-derive-securitaire-de-l-espace-de#comment18567 2013-09-30T10:11:34Z <p>on s'en fou qu'il y est la guerre ou non puisque la guerre on va l'avoir un jours ou l'autre—''</p> Le mur grec et l'Europe forteresse : dérive sécuritaire de l'espace de liberté, sécurité et justice 2011-02-06T17:18:08Z https://www.eurobull.it/Le-mur-grec-et-l-Europe-forteresse-derive-securitaire-de-l-espace-de#comment9262 2011-02-06T17:18:08Z <p>@ Michel Déclarer la guerre à la Biélorussie, pourquoi pas ? Les USA l'ont bien fait avec l'Irak.</p> Le mur grec et l'Europe forteresse : dérive sécuritaire de l'espace de liberté, sécurité et justice 2011-02-05T17:09:39Z https://www.eurobull.it/Le-mur-grec-et-l-Europe-forteresse-derive-securitaire-de-l-espace-de#comment9258 2011-02-05T17:09:39Z <p>Un mur à l'extrème limite de l'Europe, pourquoi pas ? Les USA l'ont bien fait avec le Mexique.</p> Le mur grec et l'Europe forteresse : dérive sécuritaire de l'espace de liberté, sécurité et justice 2011-01-23T13:46:07Z https://www.eurobull.it/Le-mur-grec-et-l-Europe-forteresse-derive-securitaire-de-l-espace-de#comment9138 2011-01-23T13:46:07Z <p>La Grèce devrait se retirer de l'Union Européenne. Quant à la Turquie, j'espère qu'elle n'y entrera jamais.</p> Le mur grec et l'Europe forteresse : dérive sécuritaire de l'espace de liberté, sécurité et justice. 2011-01-14T12:57:50Z https://www.eurobull.it/Le-mur-grec-et-l-Europe-forteresse-derive-securitaire-de-l-espace-de#comment9051 2011-01-14T12:57:50Z <p>Triste reflet d'une stratégie de fermeture des frontières et d'étranglement de l'asile, la construction de ce mur pose à l'Europe deux problèmes très sérieux : <br><span class="spip-puce ltr"><b>–</b></span> Celui de la compatibilité de cette mesure avec les valeurs humanistes qu'elle entend défendre sur la scène internationale : l'Europe ne peut continuer à à bouder la convention internationale sur les droits des migrants, ni à entraver de plus en plus systématiquement le dépôt des demandes d'asile, ni à en rejeter la charge sur les pays voisins. C'est une question de valeurs, mais aussi de crédibilité sur le plan international. <br><span class="spip-puce ltr"><b>–</b></span> Celui de la solidarité budgétaire entre les Etats membres, la responsabilité et les coûts de l'asile retombant toujours sur le pays d'accueil (Règlement Dublin II), voire sur le pays voisin, dit « pays de transit » (Notamment en vertu des accords de réadmission signés avec ces pays en échange de diverses contreparties). Aujourd'hui, alors que l'immigration est un problème qui se pose à l'échelle de Schengen, ce sont la Grèce et la Turquie qui paient le prix fort du contrôle de l'immigration et de l'octroi de l'asile. Cette situation est intenable, et ne peut, en toute logique, que conduire à de telles extrémités. La nécessité d'une solidarité européenne est évoquée dans une communication récente du HCR : <a href="http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=24145&Cr=HCR&Cr1=" class="spip_url spip_out auto" rel="nofollow external">http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=24145&Cr=HCR&Cr1=</a>.</p>